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AutreMonde
20 octobre 2010

Air du temps ... et Hannah Arendt

Ces mouvements de grève me rendent maussade. J’ai peu de goût pour le désordre, question de tempérament, sans doute et puis aussi mauvais souvenirs de séquences pédagogiques en milieu scolaire hostile.

Cela a-t-il bien un sens de parler de milieu scolaire hostile? On nage en pleine subjectivité. Ils ne sont, au fond, ces gamins, que mal encadrés et insuffisamment cadrés. Le système éducatif ne sait pas évoluer.

Y a-t-il un espoir ? Le rapport du HCE sur le Collège  - j’en ai parlé dans le billet précédent – montre que la réflexion peut avancer. Egalement, me semble-t-il, ce qu’on apprend de l’avant-projet du PS concocté par Bruno Julliard : « Education et formation pour l’égalité ». C’était dans Le Monde daté de mardi 19/10/2010. Je n’aime pas l’intitulé mais ce que dit Maryline Baumard du contenu m’a paru positif : autre conception, élargie, du travail des élèves et des professeurs, ouverture (timide) vers une possible polyvalence de l’encadrement en début de collège, progressions individualisées permettant d’éliminer les redoublements, retour à une forme repensée de carte scolaire, élargissement de l’autonomie des établissements, rééquilibrage de la semaine et de l’année scolaire, ….

L’ennui, avec les programmes  et les intentions, c’est que sous la nappe des mots et des esquisses, on ne sait jamais clairement quel est l’avenir en gestation. Pour l’instant, les précisions manquent, mais enfin …

Ce qui m’étonne, c’est que l’évocation d’une autre façon d’exercer le métier qui sous-tende davantage de présence dans les établissements ne semble pas s’accompagner de l’exigence d’une mise à niveau (au niveau de cette perspective) des locaux.

J’ai plusieurs fois énoncé ma certitude qu’offrir aux enseignants un cadre optimal pour un exercice sur place à temps plein de leurs missions était la condition sine qua non  de l’amorce d’un changement des pratiques et des mentalités. Avec ceci que la prise de conscience de ce  fait impliquera un programme d’investissements qui ne peut relever que de la « grande cause nationale ». Les affrontements PS/PC sur le financement des collèges en Seine-Saint-Denis (Le Monde du 14/10/2010) montrent assez qu’on ne peut pas laisser ce type d’affaire à la merci de conflits politiciens locaux. 

Il est certain que le système est à repenser dans son ensemble, sa refonte devant s’inscrire dans un projet à la logique globale. Ainsi, quand je lis qu’un groupe d’universitaires avec à sa tête Marcel Gauchet (Supplément Education du Monde / Jeudi 14 Octobre) parle de refonder l’Université en en commençant  le cursus par « une année zéro pour les bacheliers fragiles », j’éprouve le besoin de m’asseoir. Au lieu de donner un sens à un continuum respectueux des différences individuelles comme soucieux de conduire chacun à l’optimum de son excellence, mais respectueux aussi de cette évidence que tout le monde ne peut pas tout aborder, on s’occupe de remplir le supérieur avec les ratages d’un secondaire que du coup, on semble croire, de facto, intangible dans ses inadaptations. Après quoi, ou avant quoi, on pourra prévoir une année zéro pour le lycée, succédant à l’idée d’une année zéro pour le collège, l’étape précédente étant toujours supposée le maillon faible du dispositif. Ce n’est pas sérieux.

Pendant ce temps, une certaine pagaille dont on ignore à cette heure quelles suites elle connaîtra, s’installe dans le milieu lycéen. Ça chahute ferme, les gamins adorent. Mon fils était en classe de seconde et en 1986 parmi les excités des manifs anti-Devaquet.  Je ne l’ai su qu’après. Dans le flottement général, le parent moyen n’est guère au courant de qui est où et fait quoi. Peut-être le contrôle des absences est-il plus performant aujourd’hui … Toujours est-il qu’il a conservé un souvenir enchanteur de ces journées de marginalité scolaire où il ne savait absolument pas quelles étaient les raisons d’un mouvement auquel il trouvait essentiellement l’intérêt d’être … un mouvement. Les temps ont-ils à ce point changé ? J’en doute, avec cet aspect complémentaire que l’antisarkozysme très majoritaire chez les jeunes  permet aux leaders de démarrer une action sur à peu près n’importe quel thème "contre" ....                                                           SophGerm

…. ce qui ne semble pas donner le moral au proviseur du lycée Sophie Germain (Paris – 4ième arrdt) saisi ici dans son bureau et dont l’établissement est bloqué depuis plusieurs jours (Photo Le Monde du mardi 19/10/2010).

Il en est des établissements scolaires comme de la société en général. Les mouvements – je semble à l’instant brocarder ceux des lycéens – traduisent quoi qu’on en pense un malaise général que le politique ne comprend pas et ne peut dès lors pas traiter. L’accablement ici d’un proviseur, humainement désolant, n’en signe pas moins l’inaptitude du système à comprendre qu’il est obsolète et que la seule solution réaliste qui s’offre à lui est de s’auto-détruire pour renaître, enfin adapté à son temps, de ses cendres.

Il faudra sans doute aller beaucoup plus loin que les indications prudentes d’un HCE ou d’un Bruno Julliard. J’ai dit plus haut « Grande cause nationale ». Ce n’est pas moins que cela. Et d’autant que cette société qui se noie dans ses problèmes, de l’emploi des jeunes au chômage des vieux, de la précarité de beaucoup à l’insolent train de vie de quelques-uns, des ghettos de la banlieue à l’atmosphère feutrée des beaux quartiers, c’est d’abord par l’école qu’on peut tenter de la sauver d’elle-même. Le reste suivrait.

Mais cela sert-il de le dire ? Le propos, semble-t-il n’intéresse personne sur le principe bien connu du repliement. Brutalement : « A chacun sa merde… ». Et attendons que ça passe ? Triste, inefficace et même fort contre-productive règle de conduite. Las …

Mais laissons cela là. Les congés de Toussaint arrivent !

Nous verrons bien ce que devient le court terme en attendant l’impossible grand soir.

Et puis, il y a peu, j’avais des lectures sérieuses et prévu d’en rendre compte. Ma foi, l’article était dans les cartons. Tant pis pour l’actualité brûlante. Puisqu’il parlait d’éducation, produisons-le dans la foulée, tombât-il à côté quelque peu de la plaque ( ?).

Et donc :

                                   Hannah Arendt : La crise de l’éducation.

C’est un article d’une trentaine de pages dans un volume « folio / essais » qui en regroupe huit  (Huit exercices de pensée politique selon son sous-titre) et a retenu  comme intitulé général La crise de la culture.

Publié aux Etats-Unis en 1961, cet ensemble d’essais est arrivé (augmenté, initialement il n’y avait que six articles) en France en 1968.

La réflexion d’Hannah Arendt (je m’aperçois seulement aujourd’hui que son prénom est parfaitement « palindromique » (se lit  indifféremment de gauche à droite et de droite à gauche)… détail par ailleurs sans grand intérêt sur le fond, j’en conviens), adossée à l’observation du système éducatif américain dont elle dénonce l’échec, s’intègre sans une ride aux débats actuels entre républicains et pédagogistes (ces appellations sont inadéquates, caricaturales … et commodes).

… et s’intègre en choisissant clairement son camp, celui où ferraille Alain Finkielkraut, à titre d’éminent disciple de la pensée arendtienne. Et le propos, outre qu’il est extrêmement convaincant, frappe de redondance absolue (ou de plagiat) tout ce qui s’écrit sous les plumes directement ou indirectement brighelliennes.   

Je n’avais à ce jour – horresco referens (ou en bon français : pas de quoi s’en vanter !) – jamais lu l’essai d’Hannah Arendt. C’est, sous beaucoup d’aspects, dans la forme et le fond, le canevas exact de tout ce que produit de discours la France qui veut « Sauver les lettres » ou « Sauver l’école » d’un désastre à la fois annoncé et réputé déjà advenu.

Etonnant.  Très étonnant. Au point qu’au fond, les différents tenants de cette ligne devraient se contenter, à intervalles réguliers, d’un « confer  (cf.) Hannah Arendt » qui les dispenserait de bégayer.

Cela dit, si la pensée d’Hannah Arendt s’inscrit dans la logique d’une vaste réflexion de fond, il est rien moins qu’assuré que ceux qui pourraient sembler s’en réclamer pensent au même niveau (je ne fais pas, ici, référence à Finkielkraut qui m’inspirerait plutôt, sur la question culturelle, un exercice d’admiration).

Non, je réserverais, si j’en avais à décocher, mes flèches à ceux qui réduisent le problème à la déploration d’un temps évanoui sans réellement dessiner, étroitesse d’esprit, autrement qu’en termes de retour en arrière, les voies élargies d’un nécessaire redressement.

Car, même si l’opérationnalisable n’est pas explicite chez Arendt, la critique s’y ouvre sur de généreux avenirs possibles à construire:

« … il est clair que c’est seulement par la scolarisation, l’éducation  (…) que l’on peut tenir cette gageure de fondre les groupes ethniques les plus divers en un seul peuple ; gageure jamais tout à fait réussie, mais réussissant toujours au-delà de toute attente. »

Et ce qui précède, énoncé dans le cadre et la perspective d’une réussite de l’immigration, en cohérence avec une affirmation de John Adams dès 1765 disant : « Je considère toujours l’établissement de l’Amérique comme le début d’un grand dessein de la Providence en vue de l’illumination et de l’émancipation de tous les opprimés de la terre. »

Le discours est certes daté dans sa géopolitique, et son allusion à la Providence fleure peu la laïcité, mais l’utopie garde sa force et c’est bien l’extraordinaire enthousiasme sous-jacent, que souligne Arendt, qu’il faudrait essayer de ranimer et qui devrait permettre, hic et nunc (ici et maintenant), la réactivation de l’investissement enseignant sans lequel on ne peut pas faire  bouger les lignes.

Et il me semble, ayant lu cela, que nombre de « Sauvons les … meubles  » manquent de générosité.

Hannah Arendt parle, à propos des méthodes modernes d’éducation , dont elle voit géographiquement la source au centre de l’Europe et dont elle date le déferlement de la sortie du second conflit mondial,  d’un étonnant salmigondis de choses sensées et d’absurdités, conduisant de facto (de fait) à mettre à l’écart toutes les règles du bon sens. Et parmi les errements évidents, elle souligne les effets pervers d’une passion égalitariste qui conduit à effacer autant que possible la différence entre jeunes et vieux, doués et non doués, et finalement entre enfants et adultes, puis particulièrement entre élèves et professeurs, concluant : « Il est évident que ce nivellement ne peut se faire qu’aux dépens de l’autorité du professeur », ce qui me semble une remarque juste, et « au détriment des élèves les plus doués », ce qui m’agace. Car s’il est évident que l’acceptation des différences est la base même d’une pédagogie efficace, le couplet  « Mais c’est Mozart qu’on assassine ! » me hérisse le poil, tant il peut faire basculer l’équilibre de l’analyse vers  un élitisme dévastateur.

Pour en rester à l’effet salmigondis, il n’en est pas moins vrai que l’essentiel de la difficulté tient à ceci qu’aucun des deux camps (pédagogistes / républicains) n’est cohérent dans ses attentes et que l’angélisme d’un côté, l’immobilisme de l’autre, sapent tout ce qui pourrait déboucher sur une possible recherche commune d’enseignement de masse dans le respect  des excellences individuelles.

Hannah Arendt explique les catastrophes éducatives qu’elle dénonce en les faisant découler de trois idées de base :

-         Il existe un monde de l’enfant et une société formée entre les enfants qui sont autonomes et qu’on doit dans la mesure du possible laisser se gouverner eux-mêmes. Le rôle des adultes doit se borner à assister ce gouvernement. C’est le groupe des enfants lui-même qui détient l’autorité ….

-         Sous l’influence de la psychologie moderne et des doctrines pragmatiques, la pédagogie est devenue une science  de l’enseignement en général, au point de s’affranchir complètement de la matière à enseigner. Est professeur  [dès lors] celui qui est capable d’enseigner … n’importe quoi. Sa formation lui a appris à enseigner, et non à maîtriser un sujet particulier…

-         On ne peut savoir et comprendre que ce qu’on a fait soi-même, et [la] mise en pratique dans l’éducation est aussi élémentaire qu’évidente : substituer autant que possible, le faire à l’apprendre. L’intention avouée n’est pas d’inculquer un savoir mais un savoir-faire …. [avec cette dimension que] dans ce  processus, on s’est surtout efforcé de supprimer autant que possible la distinction entre le travail et le jeu, au profit de ce dernier…

On peut élargir la citation, mais l’essentiel de la critique républicaine est là clairement indiqué, à la fois dans sa pertinence et dans l’excès de sa charge, car si le trait porte, il va trop loin. On pourrait dégager des compromis.

Mais dans les développements, une analyse d’Arendt, plus philosophique en quelque sorte, m’a paru réellement mettre le doigt sur un mal profond, moins souvent souligné me semble-t-il et qui pousse à la réflexion.

« Dans le cas de l’éducation, » dit-elle, « la responsabilité du monde prend la forme de l’autorité. L’autorité de l’éducateur et la compétence du professeur ne sont pas la même chose. (…) La compétence du professeur consiste à connaître le monde et à pouvoir transmettre cette connaissance aux autres, mais son autorité se fonde sur son rôle de responsable du monde. Vis-à-vis de l’enfant, c’est un peu comme s’il était un représentant de tous les adultes , qui lui signalerait les choses en disant : ‘‘Voici notre monde’’

Or nous savons tous ce qu’il en est aujourd’hui de l’autorité (…) [elle] ne joue plus aucun rôle dans la vie publique et politique ou du moins ne joue qu’un rôle largement contesté (…) Cela veut au fond simplement dire qu’on ne veut plus demander à personne de prendre ni confier à personne aucune responsabilité (…) [et] cela peut vouloir dire qu’on est en train de désavouer  les exigences du monde et son besoin d’ordre ; on est en train de rejeter toute responsabilité pour le monde : celle de donner des ordres comme celle d’y obéir. (…) L’autorité a été abolie par les adultes et cela ne peut que signifier  une chose : que les adultes refusent d’assumer la responsabilité du monde dans lequel ils ont placé les enfants. »

Cette double peur, ce double refus (‘‘donner des ordres’’ / ‘‘obéir à des ordres’’) me semble effectivement  au fondement de nos effondrements pédagogiques et éducatifs, et ils nous ont particulièrement  étreints, nous, adultes, qui n’avons pas su déchiffrer les possibilités ouvertes par le mouvement de mai 1968 et saisir ce moment historique privilégié où l’éducation dont les rigidités excessives avaient  conduit à la révolte pouvait être reconstruite sur des bases saines. Les balanciers vont toujours trop loin.

Il y a chez Hannah Arendt un credo, une profession de foi, qui ne sauraient suffire à donner les moyens effectifs d’un règlement des problèmes, mais qui fixent ce qui devrait être au départ – et qui ne l’est pas, de quelque côté politique qu’on se tourne – de toute réflexion réformiste dans le domaine éducatif. « L’éducation, » dit-elle, « est le point où se décide si nous aimons assez le monde pour en assumer la responsabilité et [pour] de plus, le sauver de cette ruine qui serait inévitable sans [le] renouvellement et sans [l’] arrivée de jeunes et de nouveaux venus. C’est (…) avec l’éducation que nous décidons si nous aimons assez nos enfants [et l’avenir] pour ne pas les abandonner à eux-mêmes, ni leur enlever leur chance d’entreprendre quelque chose de neuf , quelque chose que nous n’avions pas prévu, Mais [au contraire] pour les préparer d’avance à la tâche de renouveler un monde commun. »

Avec – et elle l’a souligné au préalable – cette vraie difficulté méthodologique que « [si] une éducation [complète]  ne peut faire fi de l’autorité, ni de la tradition (…) elle doit s’exercer dans un monde [moderne] qui n’est pas structuré par l’autorité ni retenu par la tradition. (…) [Dès lors], nous devons appliquer dans le domaine de l’éducation une notion d’autorité et une attitude envers le passé (…) qui ne doivent pas prétendre détenir une valeur générale dans le monde des adultes ». Ce n’est pas un mince programme. Car il ne s’agit pas – comme disait Lampedusa – de ‘‘tout changer pour que rien ne change’’, mais bien de tout comprendre avant d’espérer changer.

Certes, ayant dit cela, on n’a rien dit. N’empêche qu’il faut d’abord le dire. Et que l’on n’en entend les échos dans nul programme électoral. Ce qui au fond me renvoie à ma remarque « cheveu dans la soupe » du début et à ce prénom d’Hannah comme palindrome. En se lisant indifféremment dans les deux sens, il ne saurait du coup indiquer quelque préférence que ce soit pour la droite ou pour la gauche et pourrait être symptomatique d’une pensée où l’intelligence prime sur les chapelles et énonce des axes de travail autour desquels il serait temps que puissent s’opérer d’indispensables convergences. Non pas « Sauver  l’école » mais bien la « réinventer ».  Merci de ne pas scander en ricanant: "Tous ensemble! Tous ensemble!".

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Commentaires
M
Bonjour,<br /> <br /> L’intérêt que vous portez à Hannah Arendt me porte à vous indiquer l’étonnement qui est le mien à lire, avec la plus grande attention, « Les origines du totalitarisme ». Vous en trouverez la marque dans :<br /> <br /> http://crimesdestaline.canalblog.com<br /> <br /> Très cordialement à vous,<br /> <br /> Michel J. Cuny
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G
Mais non, l’article sur Anna Arendt n’est pas hors de la plaque et les prudences (il n’y a pas de quoi s’en vanter) agrémentent la lecture. <br /> Pour avoir fréquenté le mouvement Freinet souvent assimilé à la non directivité, je sais que les débats étaient vifs, les personnalités diverses et déterminantes quant aux mises en œuvre. Bien que l’attention aux enfants les plus en difficulté fut notre priorité, j’accepte aujourd’hui la critique qui nous était adressée de favoriser, de fait, les élèves qui avaient à la maison une culture proche de celle de l’école. Ils pouvaient ainsi mieux affirmer leur esprit d’initiative, avec un aplomb pour s’exprimer qui avait plus d’occasions de s’exercer qu’avec un enseignement magistral. <br /> Les réflexions sur l’autorité que vous avancez peuvent se voir au cœur des manifs qui assurent l’intégration des jeunes dans le débat national, où ils n’ont pas le monopole de la pensée sommaire. <br /> Au pays de « casse toi pov’con ! » quelle autorité ? <br /> Le Bruno Julliard qui a tribune dans « Le Monde » a bien dû sauter sur des rythmes binaires « tous ensemble ». <br /> Se tenir les coudes le temps d’un printemps n’empêche pas de nuancer par la suite, et de goûter Anna et Anna.
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C
Que de pessimisme.... Allez jetons aux orties les pédagogos et les républicanoconservateurs et faisons une école du XXIème siècle.... Bon laquelle, là est la question mais les vieux débats ne nousa avancent à rien.
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AutreMonde
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